Méthode de traitement par la libération et régulation de la charge énergétique liée à la mémoire traumatique émotionnelle
J’ai débuté mon activité de psychothérapeute en 2004, évoluant pour une activité de psycho-praticien en 2011, et celle de psychanalyste en 2007. J’ai connu les réussites thérapeutiques, les échecs, les semi-échecs qui, d’une vision optimiste et avec un brin d’humour, sont aussi de semi-réussites.
Mais alors se confrontaient à moi certaines questions dont celle qui fût le point de départ de mes recherches.
Quelle était la cause de succès thérapeutiques ou inversement la cause d’échecs?
Il m’aura fallu un peu plus de 10 ans d’expériences, de pratiques cliniques et de réflexions, d’échanges et confrontations méthodologiques et théoriques pour enfin obtenir de sérieuses pistes à découvrir ou approfondir et de réponses à mes questions.
C’est de là, à la croisée de la psychanalyse et anthropologie, des neurosciences et des T.C.C., de la sophrologie, à la « croisée des mondes » pourrait-on dire, que celles-ci me sont venues.
J’ai pu alors concevoir fin 2016 une méthode qui puisse en unifiant les pensées, émotions et comportements, permettre de résoudre assez rapidement et efficacement mais aussi durablement divers troubles comme les obsessions ou pensées obsessionnelles, phobies, traumatismes psychiques et physiques, symptômes dépressifs, stress, etc.
Je pars du principe théorique constamment vérifié par la pratique que c’est l’énergie en excès ou supplémentaire ou résiduelle d’une expérience vécue qui, n’ayant pu trouver lors de l’événement un moyen de décharge adéquat autre que le psychisme ou le corps, pose problème.
Il est donc nécessaire de libérer cet excès d’énergie.
La méthode, pour faire simple, utilise les capacités psycho-corporelles, la plasticité neuronale et la faculté de l’organisme à mobiliser ses propres ressources afin d’engendrer le changement voulu.
Elle articule entre autres la parole, l’association libre, la remémoration, l’abréaction et visualisation qui sont des techniques psychanalytiques que j’utilise pour créer une simulation des instants traumatiques du sujet, de certaines techniques sophrologiques de relâchement utilisées par exemple pour la gestion du stress ou de techniques issues des apports en neurosciences comme l’acceptation plutôt que l’évitement des pensées pénibles et l’engagement qui visent à restaurer une flexibilité psychique…
Pour finir, cette méthode thérapeutique nécessite peu de séances pour apporter ses premiers bénéfices et en cela on peut la considérer comme une thérapie brève et paradoxalement efficace. Il est fréquent d’obtenir des effets immédiats dès la première séance spécifique à cette méthode.